Les études sur l’autotraduire permettent d’enrichir la pensée du traduire dans son ensemble. En se focalisant sur le sujet (auto)traduisant, bien visible, elles rappellent l’activité, le mouvement du traduire, et non seulement le produit fini traduit. Elles replacent notamment l’attention sur l’écriture, la grande oubliée de la critique de la traduction. De ce fait, elles invitent à réfléchir sur Baudelaire d’Émile Benveniste (2011) qui nous conduit au dépassement de la dualité du signe et elles incitent à reprendre la lecture de la Poétique du traduire d’Henri Meschonnic (1999). Avec ce regard sur l’écriture du sujet (auto)traduisant, les études de la genèse des textes (auto)traduits ouvrent de nouvelles perspectives pour penser le traduire.
L’autotraduire littéraire : un espace pour (re)penser le sujet traduisant et la poétique du traduire
Celotti, Nadine
2017-01-01
Abstract
Les études sur l’autotraduire permettent d’enrichir la pensée du traduire dans son ensemble. En se focalisant sur le sujet (auto)traduisant, bien visible, elles rappellent l’activité, le mouvement du traduire, et non seulement le produit fini traduit. Elles replacent notamment l’attention sur l’écriture, la grande oubliée de la critique de la traduction. De ce fait, elles invitent à réfléchir sur Baudelaire d’Émile Benveniste (2011) qui nous conduit au dépassement de la dualité du signe et elles incitent à reprendre la lecture de la Poétique du traduire d’Henri Meschonnic (1999). Avec ce regard sur l’écriture du sujet (auto)traduisant, les études de la genèse des textes (auto)traduits ouvrent de nouvelles perspectives pour penser le traduire.File | Dimensione | Formato | |
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